1. Recherche de Mots-Clés :

Utilisez des outils comme Google Keyword Planner pour identifier des mots-clés pertinents et à fort volume de recherche. Intégrez ces mots-clés de manière naturelle dans vos contenus.

2. Création de Contenu de Qualité :

Produisez des contenus informatifs, engageants et de haute qualité qui répondent aux questions et besoins de votre audience. Un contenu bien rédigé et pertinent est plus susceptible d’être partagé, de recevoir des backlinks, améliorant ainsi votre position dans la SERP.

3. Optimisation On-Page :

• Balises de Titre et Meta Descriptions : Assurez-vous que chaque page a une balise de titre unique et une méta-description accrocheuse contenant vos mots-clés principaux.
• URL Structurées : Utilisez des URL courtes, descriptives et riches en mots-clés.
• Balises Alt pour les Images : Ajoutez des descriptions alternatives pertinentes pour chaque image.

4. Amélioration de la Vitesse du Site :

Un site rapide améliore l’expérience utilisateur et est favorisé par Google. Utilisez des outils comme Google PageSpeed Insights pour identifier et corriger les problèmes de vitesse.

5.Mobile-Friendly pour la serp:

Assurez-vous que votre site est responsive et fonctionne bien sur tous les appareils, notamment les smartphones. Google privilégie les sites adaptés aux mobiles, ce qui impacte positivement votre classement dans la SERP.

6. Backlinks de Qualité :

Obtenez des backlinks provenant de sites réputés et pertinents dans votre domaine. Les backlinks de qualité sont un facteur de classement important pour Google.

7. Expérience Utilisateur (UX) :

Améliorez la navigation sur votre site, assurez-vous qu’il est facile à utiliser et que les visiteurs peuvent trouver rapidement ce qu’ils recherchent. Un bon UX réduit le taux de rebond et augmente le temps passé sur le site.

8. Utilisation des Réseaux Sociaux :

Partagez régulièrement vos contenus sur les réseaux sociaux pour augmenter leur visibilité et générer du trafic vers votre site.

L’optimisation pour les moteurs de recherche (SEO) est un processus continu. En appliquant ces conseils, vous pouvez améliorer progressivement votre classement dans la SERP de Google et attirer plus de visiteurs sur votre site.

Mettez ces conseils en pratique dès aujourd’hui et observez l’amélioration de votre positionnement sur Google ! Pour plus de conseils SEO, suivez notre blog et restez informé des dernières tendances.

En appliquant cette structure et ces conseils, vous pourrez créer un article utile et informatif pour aider vos lecteurs à améliorer leur classement sur Google.

Explorer l’Univers, d’Answer The Public

La magie de la Recherche Sémantique

Answer The Public ne se contente pas de mots-clés basiques. Il excelle dans la recherche sémantique, vous offrant une vision holistique des questions, préoccupations et tendances associées à votre thématique. Plus qu’une simple boîte à outils SEO, une boussole qui oriente votre stratégie de contenu.

Visualiser les Tendances en un Clic

L’interface visuelle d’Answer The Public, un régal pour les utilisateurs. Imaginez une toile d’araignée de mots-clés et de questions liées à votre sujet. En un coup d’œil, vous pouvez repérer les tendances émergentes, les préoccupations récurrentes et les points chauds de votre niche.

Comment ça Fonctionne

Posez une Question, Obtenez une boîte à Idées

Le processus est simple : entrez un mot-clé ou une thématique, et Answer The Public se transforme en génie de la réponse, déversant une cascade d’informations pertinentes. Il analyse les recherches de manière astucieuse pour vous fournir une mine d’or d’idées de contenu.

Catégorisation Intelligente

Les résultats sont présentés de manière intelligente sous différentes catégories telles que « Questions, » « Prépositions, » « Comparaisons, » et bien d’autres. Cela simplifie votre compréhension des besoins spécifiques de votre public et facilite la création de contenu ciblé.

Pourquoi utiliser Answer The Public dans Votre Stratégie ? 

Créer du Contenu Hypertargeté

Grâce aux insights fournis par Answer The Public, vous pouvez créer du contenu qui répond directement aux questions brûlantes de votre audience. Cela renforce votre crédibilité et votre pertinence dans votre domaine.

Optimisation du référencement (SEO)

En alignant votre contenu sur les requêtes réelles des utilisateurs, vous optimisez naturellement votre positionnement dans les moteurs de recherche. C’est une manière intelligente d’améliorer votre référencement sans trop d’efforts.

Et le prix ? 

La plateforme propose une formule gratuite qui permet un nombre de recherches limité par jour. Elle propose aussi un essai gratuit de 7 jours. 

Pour accéder à plus d’options, il faut prendre un abonnement. Les formules disponibles commencent à partir de 99$. L’offre s’étend jusqu’à 2000$ pour un abonnement à vie. 

Conclusion : Répondre aux Besoins de Votre Public avec Précision

En conclusion, Answer The Public n’est pas simplement un outil, c’est un allié puissant. Il aide à interpréter les besoins d’une cible. Utilisez-le stratégiquement pour ajuster votre contenu, améliorer votre SEO, et établir une connexion authentique avec votre audience. Plongez dès maintenant dans l’univers captivant d’Answer The Public et découvrez les clés pour créer un contenu qui résonne avec votre public comme jamais auparavant.

fake influenceur : plus ou moins ?

Ce sont des individus qui prétendent avoir une influence significative sur les réseaux sociaux, mais dont l’audience est souvent artificielle. Ils utilisent parfois des moyens peu scrupuleux pour gonfler leur nombre de followers, tels que l’achat de faux abonnés ou l’utilisation de bots pour générer de l’engagement sur leurs publications.

Plus généralement, ils créent du contenu qui fait rêver le public qui les sui.  
Pourtant, la limite reste floue. Certains créateurs de contenu, dit vrai, utilisent aussi des méthodes discutables pour se développer.

Ces fakes influenceurs utilisent différentes plateformes :

• YouTube
• Instagram
• Tik-Tok
• Snapchat
• X (Twitter)

Ils exploitent le désir des marques de collaborer avec des créateurs populaires. Ils se cachent souvent derrière des chiffres impressionnants. « Beaucoup d’abonnés ». Ça ne montre pas pour autant une véritable influence.

Les influvoleurs et leurs pratiques

1. Achats de followers et d’engagement Les fakes influenceurs ont recours à l’achat massif de followers et d’engagement. L’idée, donner l’impression qu’ils sont populaires et influents. Cependant, cette tromperie peut rapidement se démasquer en analysant les comptes.

2. Contenu de faible qualité Pour maintenir l’illusion, certains fake influenceur produisent un contenu de faible qualité ou réutilisent du contenu provenant d’autres sources. Cela peut nuire à la réputation des marques qui choisissent de collaborer avec eux. Pour exemple, une influenceuse, réalise une vidéo en s’inspirant fortement d’une autre créatrice connue sans en avertir la marque avec qui elle collabore ou ses fans. La marque à fait un bad buzz.

Comment se protéger des fakes influenceurs ?

1. Vérification minutieuse Avant de collaborer avec un influenceur, il devient essentiel de vérifier attentivement son historique, ses statistiques d’engagement et la qualité de son contenu. Des outils et des services sont disponibles pour aider à cette recherche.

2. Privilégier la qualité à la quantité Optez pour des partenariats basés sur la qualité de l’audience plutôt que sur la quantité de followers. Des followers authentiques et engagés sont bien plus précieux que des chiffres gonflés artificiellement. En gros, choisissez un influenceur qui a une audience active plutôt que 5 qui n’auront pas de réels retours.

3. Communication transparente, Établissez une communication transparente avec les influenceurs que vous contactez. Clarifiez vos attentes et assurez-vous qu’ils comprennent l’importance de pratiques éthiques.

En conclusion, si les influenceurs sont de puissants vecteurs de promotion, il est crucial d’être conscient des risques liés aux fake influenceur et aux pratiques malhonnêtes. La vigilance et la vérification sont les clés pour protéger la crédibilité de votre marque et garantir des partenariats fructueux dans le monde complexe des médias sociaux. Il en va de même dans l’autre sens. Mais on y reviendra plus tard.

À vous de jouer, en toute transparence !

Qu’entend-on par divers formats ?

Envato éléments est un site sur lequel on peut trouver de la musique, de la vidéo de la photo, des icônes, des templates et j’en passe.

Besoin de créer un site internet, faire un visuel, une affiche ? Il ne devient pas évident de trouver ce qu’on cherche sur internet.

Dans ce cas les plateformes comme Envato éléments sont très utiles. Un moteur de recherche qui concentre énormément de contenu libre de droits.

On y retrouve tout ?

Non! Certes, il y a quantité de proposition mais, chaque média à son catalogue.
Envato ne créé pas tout le contenu disponible sur le site. Il permet aux créateurs de diffuser leur production pour en tirer un revenu. Une marketplace du digital en gros.

Une marketplace, kesako ?

Pour faire simple, c’est un marché digital ou des créateurs vendent leur travail.
Une plateforme qui regroupe différents types de contenu à destination des entreprises ou créateurs de contenu.

Et le prix ?

Sur internet, on retrouve différents modèles économiques. Ici, l’abonnement prends une part importante.
Une petite partie (toute petite) du contenu est gratuit, mais le reste est payant.

Du contenu gratuit ?

Sur Envato éléments, il y a un onglet ou on peut retrouver des créations gratuites. Une sélection réalisée par la plateforme. Il y a de la musique, de la photo, des thèmes WordPress… Pour trouver de bonnes affaires, il faut y aller régulièrement.

J’ai déjà trouvé des templates sympa qui en temps normal coûteraient plus d’une cinquantaine d’euro.

Pourquoi Envato éléments ?

Pour éviter de passer par des dizaines de plateforme. On peut toujours aller sur freepik, epidemic sound, template monster mais, quand on n’a pas de temps, Envato devient plus simple.

Et les droits là-dedans ?

La plateforme Envato éléments donne tous les éléments concernant les licences des objets achetés. Ce sont des produits destinés à un usage commercial. Toutefois, il faut bien regarder les conditions avant de modifier un élément. Bien que peu de chance d’avoir des ennuis selon les actions.

Pour pouvoir télécharger un objet sur le site il faut obligatoirement un abonnement. Cette formule permet de protéger l’utilisateur. Exception pour le contenu gratuit. Pas d’abonnement nécessaire.

Maintenant, tu sais tout sur Envato éléments. À toi de jouer pour créer du contenu digital !

Oui, mais qu’est ce qu’un mot-clé ?

Selon internet « Un mot-clé est un mot ou un groupe de mots utilisé pour caractériser le contenu d’un document et permettre une recherche d’informations. Une liste de mots-clés permet ainsi de préciser les thématiques du document. »

Donc un site devient un document ?

On peut dire ça, mais c’est plus un ensemble de pages qui comporte des blocs de texte et d’image. Tous ces éléments sont analysés par les robots de Google. Cette analyse permet de classer le site dans différents résultats de recherche.

Par exemple, chaussure. Un mot-clé qu’on peut utiliser sur un site de e-commerce.

On peut donc l’utiliser en référencement ?

Oui et non. Un mot-clé ne se choisit pas en un claquement de doigts.
On peut mettre autant de mots-clés que d’expression clé en référencement. Mais il y a des do and don’t.

Comment choisir ses mots-clés ?

La méthode large.

Choisir tous les mots qui se rapportent à notre thématique. Exemple simple, le sport. On peut prendre, fitness, musculation, danse, natation…

Différents types de sports, d’outils peuvent servir de mot-clé.

Lorsqu’on ne sait pas, cette méthode peut permettre de trouver des idées facilement.

On peut faire des listes entières de mots-clés, d’expressions utiles pour se référencer.

Facile ? Oui ! Fonctionnel ? Oui et non.

Certains mots-clés sont trop généraux, peu précis. Vous serez noyés dans les résultats de recherche.
Les deux premières pages de résultats sont les meilleurs. Les autres font partie du bac à sable.
La recherche donne des millions voir des milliards de résultats parfois. Le bac à sable correspond à la jungle de Google. On retrouve de tout et les internautes ne vont pas souvent au-delà des deux/trois premières pages.

Sport par exemple, un mot-clé trop large, peu précis. Fitness reste large, mais moins que sport.

La méthode précise

De manière générale, on utilise plus d’expressions clé que de mots. Le résultat donné marche beaucoup plus.

Comment faire?

Avant tout, on dispose du meilleur outil au monde Google.
Dans un premier temps, taper le sujet de recherche. Le moteur de recherche va proposer plusieurs mots/expressions clé. Une bonne base à utiliser. Par la suite, il y a Google trend. Un outil simple d’apparence qui permet de trouver les tendances de recherche. Une solution moins simple mais tout aussi efficace Google ads. La plateforme de publicité Google, bien exploitée, devient une mine d’or de mots-clés.

Pas besoin de carte de crédit, un compte Google et un peu de temps suffit à trouver les bons mots-clés.

Y a-t-il une solution facile ?

Le référencement demande du temps. La facilité n’existe pas vraiment, mais il existe des plateformes qui mâchent un peu le travail.

On retrouve :

• Ubersuggest
• Answer the public
• 1.fr.

Sur Ubersuggest, vous entrez le lien du site et quelques mots-clés. Le site propose des alternatives pertinentes ainsi que la difficulté de classement. (Très marketing comme plateforme mais, pratique pour débuter.)

Answer the public est un genre de moteur de recherche qui propose des listes d’expressions clé, de questions qui sont fréquemment recherchées sur Internet.

– 1.fr, un site qui optimise les textes d’un site internet. Entrez le lien de votre site, la plateforme fait le reste.

Il existe des tas de solutions, celles-ci permettent de débuter sans se casser la tête.

Et voilà comment trouver des mots-clés. Y a plus qu’à ce lancer. 

Pourquoi connaître une définition ?

L’intérêt principal, comprendre l’avantage que ça m’apporte. Demain, je fais appel à une agence de com, elle me propose une campagne d’influence. Ok, mais kesako ?

Difficile de dire oui quand on ne sait pas. Beaucoup d’entreprises à la réunion restent encore frileuses. Le marketing d’influence, en plein essor, tant à devenir monnaie courante.

Mais comment ça se passe ?

À l’origine, au départ, on choisissait les influenceurs pour leur chiffre. Plus tu as d’abonnés plus tu gagnes de partenariat. Le chiffre devient monnaie d’échange. Les grandes entreprises voient une opportunité de faire augmenter les ventes. Une belle période ? Pas vraiment. Les prémisses de ce nouveau métier qui voient naître ce qu’on appelle les fake influenceurs. Argent, cadeau, le moteur de toute une catégorie de créateurs de contenu.

Et alors ?

Les critères de choix ne sont pas vraiment existants. Ils apparaissent lorsque les marques commencent à faire des bad buzz. Des campagnes abusives, trop de contenu en même temps, trop d’influenceurs.

Un exemple : une marque de cosmétique. Elle choisit des dizaines de personnes (télé-réalité, YouTube, Instagram…) tout le monde poste en même temps. Résultat ? Le public fuit.

Dans un autre temps, les influenceurs choisissent avec qui ils veulent travailler. Les agences commencent aussi à voir le jour. Elles sont là pour accompagner les créateurs de contenu dans la gestion de contrat.

C’est ce qui permet d’établir des critères. Ils dépendent des entreprises, des agences.

Alors, comment choisir un influenceur ?

Prenons ça comme un entonnoir. Il faut y aller par étape. Choisir dans le vide égale risque de bad buzz. Un/e influenceur/euse peut nuire à votre réputation si juste choisie par ces chiffres.

Millions d’abonnés, ne veut pas dire million de potentiels clients.

Voici une petite liste de critères pour vous aider à choisir un influenceur.

Premier critère, le domaine d’activité.

Il existe des thématiques variées, gaming, technologie, cuisine, mode, beauté, lifestyle et j’en passe.

Chaque personne peut se trouver dans une ou plusieurs de ces catégories.

La première chose à regarder, fait-il quelque chose en rapport avec notre entreprise.

Prenons un exemple simple. Un restaurant souhaite faire découvrir sa nouvelle carte. Il ne prendra pas un gamer ou un spécialiste de la technologie. Il choisira plus tôt une personne qui fait de la cuisine ou des tests de restaurants.

Second critère, le contenu proposé.

Au-delà du domaine d’activité, un influenceur a une identité propre. Il va partager certains types de posts. Il peut faire de simples photos comme de la vidéo, mais avec un angle spécifique.

– Avis sur des tests

– Partage de bon plan

– Tutoriel

– Actualité

– Challenge

– Look

Bref, du contenu varié. Il faut donc choisir un type de contenu qui vous représente avant tout.

Troisième critère, les valeurs et la communication.

Chaque personne est différente. Une va parler franchement, l’autre va être plus posé. Selon les profils, on n’aura pas le même résultat. On peut observer la même réponse en fonction des valeurs.

Une collaboration devient plus compliquée quand il y a un désaccord entre les deux parties.

Au-delà d’un désaccord, si la communauté de l’influenceur ne représente pas votre cible, difficile de réaliser une augmentation de vente avec un partenariat. Cela se voit avec la communication entre le créateur de contenu et son audience.

Quatrième critère, les chiffres.

Ces données sont importantes à prendre en compte, mais pas les principales. Elles permettent d’estimer si le résultat peut être meilleur ou non en fonction de certains éléments.

200 000 milles abonnés, ne veut pas dire autant de ventes.

Il faut avant tout regarder le pourcentage d’audience qui interagit avec l’influenceur. Une donnée déterminante dans le choix. Si une personne comptabilise 10 500 abonnées, mais seuls 100 sont actifs, ça ne vaut pas le coup.

Et comment regarder ça ?

Grâce au nombre de, j’aime, de commentaire, de partage sur les posts.

On peut aussi demander un média kit aux influenceurs. C’est un document où ils mettent leurs statistiques et thématiques abordées.

Il faut aussi se pencher sur les interactions en stories. Un influenceur qui poste régulièrement des stories génère plus ou moins d’interaction.

La meilleure façon de choisir ? Il n’y en a pas. Tout dépend de ce que vous voulez. Il faut garder une chose en tête. On trouve de tout sur les réseaux sociaux.

Alors, prêt à choisir un influenceur ?

Qu’est-ce que le blogging ?

Pour faire simple c’est ce qu’on appelle en général de la rédaction web. Un équivalent du journalisme sur internet ? et bien oui et non. La presse est aussi en ligne mais ne fait pas de blogging à proprement dit.
La presse publie des articles de journaux. Sur internet on parle d’articles de blog.

Oui mais, encore.

Un article de blog est un texte qui traite d’un sujet en particulier, par exemple comment faire une bonne demande en mariage. En blogging il n’y a pas de limite comme dans un journal.
On peut mettre plus de choses comme des avis personnels.

Pour faire simple il faut penser à une chaîne YouTube sans le son et l’image.
Un peu dort comme image.

Alors, comment ça fonctionne ?

Avant de faire du blogging, il faut un site internet. Sans sa difficile de commencer. En général, la meilleure plateforme reste WordPress mais il en existe des tas. Il suffit de trouver celle qui convient au rédacteur.

Après avoir créé le site (e-commerce, vitrine, blog…) on peut passer à l’étape suivante.
Créer un onglet qui contiendra les articles de blog. Il faut que les utilisateurs puissent voir et lire les articles publiés sur le site.

Et pourquoi du blogging ?

Le référencement. Et oui, lorsqu’on veut avoir du traffic, de la visibilité sur un site, une des méthodes les plus courante reste le SEO. Une technique chronophage qui a fait ses preuves sur de nombreux sites. Le blogging permet de créer du contenu neuf (fresh), que les robots de Google peuvent lire et classer dans les différents résultats de recherche.

Tout dépend de la situation mais en règle générale, on conseille 1 article par semaine. Ça laisse du temps pour la rédaction, l’optimisation et la correction. Il y en a qui poussent le concept et peuvent aller jusqu’à 1 par jour. L’idéal, trouver son rythme de croisière. Peu importe le nombre, ce qui compte est la régularité des posts.
Question organisation, tout dépend du rédacteur. Certains écrivent plus vite que d’autres. L’idéal quand on débute, un article par semaine voir moins.

Ça laisse du temps pour les recherches et le travail de mise en forme.

De la recherche pour le blogging ?

Et oui, il y a toujours un travail de recherche avant d’écrire. Enfin, tout dépend de la thématique. Si on partage une passion, pas de recherche. Par contre, si c’est pour une entreprise, la recherche est nécessaire.
Si demain, j’écris un article sur des pneus, je dois savoir de quoi je parle.
Bref, il faut connaître son sujet.

Alors, envie de faire du blogging ?

En gros, c’est ça, mais on n’utilise pas le terme leader d’opinion. Depuis que les réseaux sociaux existent, une nouvelle tendance apparais, les influenceurs.
Un terme qui fait controverse dans le monde entier.

Suis-je un influenceur ?

Une question que beaucoup se posent lorsqu’ils font de la création de contenu sur Instagram ou encore Facebook… La réponse, tout dépend de la situation.

Une personne qui partage ses photos de mode sur Instagram sans plus reste créatrice de contenu. Par contre si cette personne fait la promotion d’une marque (blush apparel, monday…) suite à une demande de l’entreprise (rémunérée ou non) elle devient influenceuse.

Un terme qui ne fait pas l’unanimité dans le milieu.

Comment ça se fait ?

Entre 2008 et 2012, le phénomène commence à émerger avec YouTube. Après 2012, les premiers influenceurs commencent à recevoir des produits de la part des marques.

De ce mouvement, commence à arriver des abus. Comme dans tout finalement. Ces nouveaux influenceurs sont appelés : fake (faux). Ce sont des personnes qui profitent du système pour avoir plein de cadeaux gratuits et se faire de l’argent.

Il devient donc difficile de faire la part des choses entre vrai et faux. Voilà donc la raison qui pousse des créateurs de contenus à ne pas utiliser le terme influenceur.

On utilise donc les termes instagrameur, blogueur, youtubeur…

Les médias, par contre, utilisent encore ce mot, facile et raccourci, pour parler de créateurs de contenu.

Un influenceur se trouve au cœur de la stratégie de marketing d’influence de beaucoup de marques de nos jours. Un moyen d’acquérir de la visibilité, générer plus de ventes.

Pour résumer le marketing d’influence, on utilise un influenceur/créateur de contenu digital pour faire la promotion d’une marque/d’un produit.

Mais comment ça fonctionne ?

Une entreprise contact un créateur, en général par mail ou en passant par l’agence qui le gère. Après prise de contact vient la négociation. L’influenceur définit avec la marque les termes du contrat qui les lient ensemble. On peut retrouver des opérations uniques, des opérations sur une année. Tout dépend du besoin des entreprises. Une fois validé, l’influenceur peut commencer à plancher sur la collaboration.

Tout ce qui se trouve sur les réseaux sociaux se rapporte à du marketing d’influence ?

Non, pas forcément. Certaines marques envoient gratuitement des cadeaux aux influenceurs. D’autres font des collaborations avec eux. Dans tous les cas, un influenceur se voit obliger de signaler à sa communauté lorsqu’il fait une collaboration avec une marque (sauf envoi de cadeau).
En somme, la publicité doit être annoncée quel que soit le média.
Une réglementation du commerce qui s’applique à tous.

Voilà, maintenant, tu connais les bases du métier.

Il existe un book cover Samsung avec clavier qui coûte 120 euros de mémoire. Moins cher que le magique keyboard Apple. Je n’en ai pas trouvé à la réunion donc je me suis tournée vers Logitech. Une marque qui propose beaucoup d’alternatives moins chères.

J’ai choisi le Logitech Bluetooth keyboard 

Un clavier Bluetooth à peine plus grand que ma tablette. Facile à transporter, il ne prend pas trop de place. Je le glisse avec ma tablette dans une pochette et c’est parti pour une journée de travail en extérieur.

Comment il se présente ?

Un clavier gris et vert pomme avec une encoche pour glisser une tablette ou un smartphone. On a des touches de clavier mécanique qui imitent un peu la machine à écrire. Parfait pour les écrivains qui aiment le bruit de ces machines.

Les touches sont de taille correcte pour écrire. Disposées pour un PC, un appareil Android et Apple. Il y a un bouton de connexion windows/android et un bouton de connexion Apple.

On peut connecter 3 appareils en même temps et switcher (naviguer) entre les 3 au besoin, avec une molette de sélection.

Comme sur un Pc, il y a des boutons de gestion du son, de lecture audio/vidéo. Les raccourcis claviers windows fonctionnent bien sur tablette. Je peux changer de fenêtre, copier/coller sans souci. Il y a un petit temps de latence qui ne gêne pas l’utilisation une fois prit en main.

Le fonctionnement du clavier

J’adore tester des appareils, sans tout regarder de prime abord. En ouvrant le carton, je n’ai pas trouvé de cable de chargement. Le clavier fonctionne avec des piles. Il y a un petit compartiment à l’arrière pour les mettre.

Lors de la première utilisation, il faut retirer la languette du compartiment à pile. Il y a un bouton pour démarrer l’appareil à l’arrière du clavier.

Une fois allumé, j’ai connecté ma tablette. L’avantage, tout est indiqué sur le clavier avec des étiquettes. Une connexion en quelques seconde. Pendant la connexion, il faut entrer un code avec le clavier. Petite indication, une fois le code tapé, il faut appuyer sur la touche entrée du clavier. L’appareil est prêt à l’emploi.

Le fonctionnement à piles me surprend un peu. À voir s’il tient sur la durée. Malgré ce point le clavier est agréable à utiliser. Je peux l’emporter dans un petit sac à dos pour travailler en extérieur.

Dans la même idée on retrouve aussi le Popkey, un clavier Bluetooth qui comporte des touches émoji. Une bonne idée pour les fans d’emoji. Avec le pack on retrouve aussi des touches emoji en plus. Ça permet de changer quand on veut.

En bref

Un appareil sympa qui permet d’écrire dans n’importe quelle situation. Il fonctionne autant avec windows que mac et android. Pas besoin de grand-chose. Si j’ai un conseil, avoir des piles sur soi.

Alors, envie de tester ?

J’ai choisi, la Samsung Galaxy Tab S7 FE

Assez grande pour travailler, regarder Netflix et gérer mes réseaux sociaux. Un écran de 12,4 pouces pratique à transporter dans un sac.  Des haut-parleurs avec un son AKG signé Harman.

J’ajoute une pochette pour plus de protection et le tour est joué.

Un appareil proposé dans plusieurs coloris :

• Mystic Black
• Mystic Silver
• Mystic Green
• Mystic Pink.

En ce qui concerne le stockage ?

Samsung Galaxy Tab S7 FE propose deux types de stockage. Il existe une version à 4Go de RAM, 64Go de stockage et une autre à 6Go de RAM et 128Go de stockage.
Pour d’autres modèles, il devient possible d’obtenir un stockage important. Dans le cas de cette tablette, on peut ajouter une carte micro SD jusqu’à 1To de mémoire. Pratique pour les créateurs de contenu qui filment beaucoup de vidéo/prennent pas mal de photos.
Attention toutefois, le système ne permet pas de déplacer des applications sur la carte SD.

Mise à part la tablette, on retrouve quoi ?

Un stylet Spen.

Intégré avec la tablette, on le découvre à l’arrière en ouvrant la boite. Il s’aimante sur différentes parties de l’appareil, notamment sur les côtés. Il devient donc facile à attraper pour dessiner ou prendre des notes.

Le stylet se charge à l’arrière de la tablette, mais peut fonctionner sans batterie. Il propose différentes options de raccourcis. Créer une note par exemple devient plus facile.

Sur le stylet, on retrouve un bouton qui permet d’effectuer différentes actions. Je peux ouvrir des raccourcis d’applications ou encore gommer un trait raté sur un dessin.

Un book cover

Une coque qui ressemble à une couverture de livre. Disponible en noir, rose et gris elle s’adapte parfaitement à la tablette.

Il s’agit d’une coque aimantée qui permet d’utiliser l’appareil en position paysage/ horizontale. Au milieu, se trouve un espade dédié au Spen. Une encoche qui permet de protéger le stylet pendant le transport, quand la tablette n’est pas utilisée.

Attention, il peut arriver que la coque se détache de l’appareil. Il faut bien positionner la tablette pour que ça n’arrive pas.

Un chargeur ultra rapide

Un avantage de la tablette, on retrouve un port USB type C et un câble de charge ultra rapide.

Petit conseil personnel, acheter un câble tressé. Ça dure plus longtemps que le câble fournis avec la tablette.

Est-ce que tout vient avec la tablette ?

Non. Le book cover est vendu séparément. Il inclut une protection antibactérienne. Le prix est de 69 €. Il existe aussi une version incluant un clavier Bluetooth. La coque avec clavier coûte une centaine d’euros environ.

La version avec clavier peut s’avérer utile pour les écrivains qui ne peuvent pas se passer du bruit des touches. Il y a aussi d’autres claviers Bluetooth qui fonctionnent très bien avec à Samsung Galaxy Tab S7 FE

Samsung Galaxy Tab S7 FE, c’est bien ?

Une expérience utilisateur assez simple. Un paramétrage facilité avec la copie des paramètres du smartphone. L’idéal est d’avoir un Samsung. Je peux téléphoner et envoyer des SMS depuis ma tablette en activant l’option.

Certaines applications ne fonctionnent pas en mode paysage. Elles ne sont pas conçues pour. Comme beaucoup d’appareils il n’y a pas de prise jack. Une bonne alternative, le casque Bluetooth ou les ear buds/airpods. Il y a l’embarras du choix.

Le plus pour moi, le Spen. Je peux prendre des notes ou dessiner sans passer par du papier. Ça glisse bien sur l’écran sans avoir besoin d’appuyer.

Bref, une bonne solution pour aller travailler en bord de mer !